L’ouverture de ce centre d’examen s’inscrit dans le cadre de la stratégie de développement des concours spécifiques organisés par l’école. Ces examens  sont les principaux vecteurs de la politique de diversité et de la création du nouveau concours « Formation Initiale Alternée 2 » qui s’adresse aux candidats titulaires d’un bac+3 avec 1 an au moins effectué en alternance. « Développer le nombre de candidats et le nombre d’intégrés de nos concours spécifiques et consolider notre position désormais identifiée de numéro 1 pour l’alternance, » explique Olivier Guyottot, le Directeur du programme Master Grande Ecole -  ESC Montpellier.

Ce déploiement des moyens du Groupe Sup de Co Montpellier Business School correspond à la progression constante enregistrée par l’école depuis quelques années et principalement en 2012. Entré pour la première fois en 2012 dans le TOP 50 mondial des meilleurs « Masters en Management » (Master Grande Ecole – ESC Montpellier) du prestigieux classement du Financial Times, le Groupe Sup de Co Montpellier Business School intègre aussi le TOP 80 des meilleures Business Schools  européennes (68e place) qui, en synthétisant l’ensemble des classements du FT 2012 (MBA, Executive Education, Master in Management et EMBA),  constitue le « classement des classements » de tous les programmes de niveau Master.

Le Groupe espère un accroissement de son poids sur le plan national grâce aux moyens supplémentaires que lui apporte cette nouvelle sphère d'intérêt. « Jusqu’à présent, ces concours attiraient plutôt des jeunes venus du sud de la France et nous voulons étendre notre zone d’influence.  Paris est un carrefour et ce centre d’examen va permettre à des candidats, non seulement franciliens mais aussi  lillois ou bretons de présenter nos concours sans avoir à descendre jusqu’à Montpellier. Paris et l’Ile de France constituent aussi un endroit stratégique car ils représentent la zone du territoire français la plus porteuse en matière de contrats d’apprentissage et de contrats de professionnalisation : les  candidats issus de ces zones seront à priori plus enclins à accepter des postes dans cette région, » conclut Olivier Guyottot.