Le palmarès annuel du Magazine Le Point vient de sortir et confère au Groupe Sup de Co Montpellier Business School une belle 14ème place au général, un résultat à l’identique de celui paru l’année dernière dans un contexte de fusions, d’alliances et d’accords croisés entre les grandes écoles françaises comme de rapprochement avec l’université.

« Ce classement est cohérent avec les autres palmarès publiés depuis le début de l’année académique puisque nous gardons, notamment, une très belle 6ème place relative à la « Pédagogie » (taux d’encadrement, nombre d’enseignants chercheurs, doubles diplômes …) et décrochons une 12ème place en terme de valeur ajoutée rassemblant la sélectivité, la diversité et le salaire de nos diplômés » commente Didier Jourdan, Directeur Général du Groupe. « C’est un élément essentiel de notre savoir-faire et nous poursuivons inlassablement dans cette voie d’excellence avec nos spécificités propres ».

Ce classement permet, en outre, de prouver, une fois de plus, toute la grande diversité des contenus que chacun peut mettre dans chaque critère. D’un palmarès à un autre, force est de constater que toutes les lignes peuvent bouger quelque peu. Cette différenciation permet ainsi de ne pas inscrire une vérité immuable sur une institution mais avant tout de la présenter comme faisant partie d’un modèle, car c’est bien du modèle des grandes écoles dont traite chaque palmarès. Pour notre école, la moyenne des classements se situe aujourd’hui en 11ème ou 12ème place.

« Dans un contexte de crise de l’enseignement supérieur, le modèle des grandes écoles même en plein remaniement est un modèle qui a de nombreux atouts » précise Le Point. C’est un fait avéré !

Excellence académique, développement international, professionnalisation, insertion professionnelle et ouverture sociale, tels sont les ingrédients qui font le succès de toutes les grandes écoles et ce, même dans des temps économiques malmenés. Les indicateurs sont puissants et permettent par ailleurs de donner aux acteurs des éléments de progression, chacun dans leurs domaines et aux familles, comme aux étudiants des éléments de comparaison et de discussion.

Comme le souligne à juste titre la rédaction du Point, « il faut préparer les élèves à un avenir en mouvement ». Ce mouvement, les grandes écoles le connaissent bien car elles savent, depuis de nombreuses années, rivaliser d’inventivité pour rester efficaces et visibles dans la compétition nationale et internationale.