Entre excellence académique, international, palette de choix et indice de réussite, le Nouvel Observateur reconnait le prestige et la performance des programmes Bachelor du top 20 des Grandes Ecoles françaises !

Le Nouvel Observateur, dans son numéro du 24 février 2014, consacre un sujet sur l’attractivité des programmes de formation initiale des Grandes Ecoles de Management et plus spécifiquement sur les formations Bachelor.  A l’honneur, une fois de plus, parmi 23 écoles détentrices de label et reconnues par le Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP), le Bachelor of International Business Administration du Groupe Sup de Co Montpellier Business School qui se classe :

- à la 3ème place pour ce qui concerne l’insertion professionnelle de ses diplômés à l’étranger (64%) et la proportion d’étudiants issus de bacs technologiques  (12,7%)

- à la 2ème place pour la proportion d’alternants (36,8%) et le retour sur investissement de la formation (droits de scolarité/salaires 1ère embauche).

Depuis plus de 10 ans, le Groupe Sup de Co Montpellier Business School a instauré un programme pédagogique chargé de renforcer l’ouverture et la professionnalisation de tous ses élèves par la confrontation à une internationalisation puissante. Ce programme s’est traduit par la généralisation des opportunités d'études comme des stages obligatoires à l'étranger, par l’entrée massive d’étudiants visitants dans les programmes et par des double diplômes en universités partenaires à l’étranger ou en blended-learning, avec notamment, l’Université de La Trobe (Melbourne–Australie).

« Les recruteurs, comme les nombreuses entreprises qui recrutent nos diplômés le confirment » précise Didier Jourdan, directeur du Groupe. « Elles recruteront de plus en plus des profils très adaptables, ayant appréhendé d’autres cultures, d’autres méthode d’apprentissage, d’autres langues. L’international ne s’apprend pas sur les bancs d’une école, il se vit et sur une longue durée. En deçà d’une année complète, le cerveau de l’étudiant comme sa personnalité n’a pas le temps de s’approprier un nouveau système de référence ».