Le Groupe Sup de Co Montpellier Business School attribue une place importante de son cursus à la personnalité et au talent de ses étudiants. Et c’est notamment au travers des projets associatifs que les étudiants associent leurs enseignements et leurs talents artistiques.
Ainsi Larsen, l’association musicale de l’école, s’est bâti une réputation grandissante grâce à ses différents évènements et concerts. Si le 12 décembre dernier ils organisaient leur 1er « World Mix » de l’année mettant en compétition plusieurs DJ venant des 4 coins du monde et avec plus de 300 personnes dans le public, hier soir ils donnaient une représentation de Noël dans le grand amphithéâtre devant plus de 400 personnes avec notamment la jeune Esiiah actuellement en préparation d’un clip vidéo.
Portraits des artistes
Martin Gutierrez est « Bulbmakers », étudiant en échange académique avec l’Universidad del Norte (Baranquilla-Colombie), université partenaire du Groupe Sup de Co Montpellier Business School. C’est à 16 ans qu’il débute sur les tables de mixage en Colombie. Gagnant en notoriété via les réseaux sociaux, Martin décide alors de faire des études de business, pour ouvrir un jour son propre label musical. « Le marché de la musique est impitoyable et il est très dur de trouver des producteurs prêts à nous suivre. C’est pourquoi j’ai l’idée de devenir mon propre producteur. Je me suis associé à un ami et nous sommes devenus les Bulbmakers ». Participer au World Mix de Larsen est pour Martin l’occasion idéale de se faire connaitre auprès d’un public étudiant et francophone.
Esiiah est quant à elle une artiste aux influences blues and soul. Originaire du Gabon, passionnée par le chant et la musique, elle entre en classe préparatoire au lycée Jacques Decour à Paris. Elle parvient très vite à concilier études et musique, puis compose et enregistre ses premières chansons avec pour objectif d’en vivre sans sacrifier ses études. « C’est vraiment le Groupe Sup de Co Montpellier Business School que je voulais, pour l’importance que l’école donne à la diversité et à l’international. Actuellement, je suis sur le site bien connu de My major company », pionnier en financement participatif pour les artistes. « C’est une belle façon de se produire, on est financé par des gens qui croient en nous et qui aiment ce que l’on fait ». Sensible aux influences de Nina Simone et Tony Braxton, Esiiah mise sur une voix puissante et atypique. C’est ensuite lorsqu’on lui demande de se définir qu’elle nous déclare : « Je ne suis pas une étudiante qui chante mais une artiste qui étudie ». Et dans une Grand Ecole qui plus est.
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